Symptômes et sédentarité / voyage

Lancé par nissle17-6260 - Dernier message le 24/03/2020 à 17:12
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nissle17-6260 - 24/03/2020 à 17:12

(et entre parenthèses, pour la déshydratation ok, mais quid de l’inflammation qui visiblement disparaît également?)

nissle17-6260 - 24/03/2020 à 16:50

Bonjour à tous, ça fait un moment que je ne me suis pas exprimé ici.

Je souhaiterais vos témoignages, vos observations, sur un phénomène que je constate sur moi, et que je ne m’explique pas très bien. Savoir si d’autres auraient pu le constater aussi dans leur cas.

J’ai une rch depuis 2008, avec ses hauts et ses bas comme tout le monde. Or il y a une chose qui me met souvent en rémission au bout de quelques jours, c’est le voyage. Comme il en est une autre qui semble dégrader mon état, et c’est la sédentarité trop prolongée.

J’appelais ça la rémission du campeur (pas l’haleine!). J’en ai parlé à un médecin qui expliquait ce phénomène par une forme de déshydratation perspirante et bien sûr moins d’apport d’eau en général (et moins d’eau, moins de selles liquides). Pourquoi pas, mais ça me semble tiré par les cheveux.

Généralement, si je pars en voyage avec une poussée déjà existante, je fais et vois d’autres choses, je finis par y penser moins c’est vrai aussi, je coise du monde, bref je me dépayse et me distrais. Et au bout d’un moment je réalise que je ne suis plus allé à la selle depuis un jour ou deux, et quand j’y vais enfin, tout semble rentrer dans l’ordre, sans changement particulier au niveau des médicaments (5asas). Ou si, puisque parfois j’oublie même une prise par ci par là, sans que ça n’ait d’incidence particulière.

Quand je voyage, c’est souvent dans des festivals de musique, où je joue pendant plusieurs jours – oui je suis musicien. Je m’y couche souvent tard (tôt), n’ai pas la meilleure hygiène de vie (ça ne s’y prête pas), et pourtant en bout de compte je récupère une rémission.

J’ai pensé au soleil (c’est souvent en été), c’est une piste. Mais cela m’arrive aussi à d’autres périodes plus hivernales.

Alors je me demande qu’est-ce qui peut bien provoquer cela. Mon activité plus habituelle m’oblige souvent à rester dans une pièce devant un ordinateur. Je prends des repas réguliers, m’hydrate, mais sors peu. Si ces périodes durent trop longtemps, la mici va se remanifester petit à petit.

Qu’est-ce qu’il y aurait chez moi auquel je me soustrairais peut-être en voyage?
Et bien j’ai pensé aux perturbateurs endocriniens. Peinture sur les murs, linoléum, est-ce que cet air plus confiné que je respire le plus clair de mon temps pourrait avoir une incidence progressive? Ce n’est qu’une hypothèse, mais de ce que je lis un peu partout, les perturbateurs endocriniens sont de plus en plus pointés du doigt.

Alors, hors cette question particulière, je vous laisse au moins me répondre sur ce constat que je fais. A ceux d’entre vous qui voyagent assez longtemps dans des milieux radicalement différents, remarquez vous des changements positifs notables?

En cette période de confinement, voilà une discussion idoine. ^^

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