Travail et crise longue.

Lancé par Val42-8137 - Dernier message le 05/06/2023 à 17:47
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Nath62 - 05/06/2023 à 17:47

Je vis actuellement exactement la même chose.
Depuis Décembre je vis une grosse poussée qui ne cède pas à l immurel. Je reprends les perfusions jeudi.
En attendant j ai demandé à ma direction de me sortir des plannings où j étais prévue au bloc pour pouvoir courrier aux toilettes dans pénaliser l intervention. Depuis mes collègues ne me calculent plus, je n ai plus aucune info qui m est communiqué et pourtant je bosse beaucoup avec d autres praticiens. J’en suis a ne plus manger le midi pour éviter d être trop malade.
J ai aussi une question les demies journées prises pour faire les perfusion pouvons nous être pris en charge par la sécu ou sommes nous obligés de poser des congés ?
Bon courage à vous et à tous qui vivez un enfer qui ne se devine pas

Val42-8137 - 29/05/2021 à 13:22

Bonjour,

je vous présente mon cas. J’ai eu une accalmie de la maladie pendant un peu plus d’un an (pas de crise majeure). Cependant, depuis fin novembre, je suis en proie avec des crises qui viennent et reviennent, avec une forte fatigue et de très fortes migraines (vomissement, diarrhée + douleur).

J’ai du être arrêté en cumulé quelques semaines (entre 2 et 3 au total) car j’en pouvais plus. Depuis, j’ai l’impression que mes collègues m’en veulent un peu d’avoir une charge de travail plus importante momentanément et j’ai également l’impression d’être un peu mis à l’écart. Certes, je ne suis pas idiot et j’ai demandé à avoir des plus petites tâches pour être sur de les réaliser pour ne pas pénaliser le projet. Mais d’un autre coté, les « ça me fait chier » en rétro-planning, ça m’a fait mal sachant que je suis le seul qui ait été malade. Le fait de ne pas être très propre avec ces glaires et diarrhées me pèse déjà. Je n’avais pas besoin de ça en plus.

Je ne sais pas comment réagir. J’ai cravaché pour ne pas retarder notre projet et minimisé la visibilité de ma maladie. Mais là, j’ai vraiment envie de ne plus faire d’efforts et d’ignorer les personnes qui ont pensé cela. Mais, j’ai également l’impression que ce serait sur-réagir. Honnêtement, je commence à regretter d’avoir été honnête et de ne pas avoir caché ma maladie dans mon milieu professionnel.

Je ne sais pas si quelqu’un a déjà vécu quelque chose de similaire et s’il peut me conseiller. Je n’ai pas envie également de faire une demande de travailleur handicapé car je suis certes un peu embêté par période mais relativement tranquille sur de très longues périodes.

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